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AVERTISSEMENT

Amis lecteurs
Je ne fais ce Blog que pour vous faire decouvrir les tresors du Judaisme
Aussi malgre le soin que j'apporte pour mettre le nom de l'auteur et la reference des illustrations sur tous ces textes , il se pourrait que ce soit insuffisant
Je prie donc les auteurs de me le faire savoir et le cas echeant j'enleverais immediatement tous leurs textes
Mon but etant de les faire connaitre uniquement pour la gloire de leurs Auteurs

AFIKOMANE








Pendant la première partie du Seder, on place dans une serviette ou dans un sac un morceau de la matsa qui se trouve entre les trois matsot.

Cette matsa, appelée afikomane (vocable d’origine grecque : dessert) est distribuée à tous les participants une fois le dîner terminé et on la mange comme dessert.

Cette coutume fut instituée il y a environ sept cents ans. Pour que cela semble plus amusant aux enfants et qu’ils ne dorment pas, il leur était permis de voler et de cacher l’afikomane. Compte tenu du fait que le Seder ne pouvait pas continuer jusqu’à ce que toutes les personnes présentes mangent un morceau de l’afikomane, l’officiant du Seder devait le chercher. S’il ne le trouvait pas, il offrait un cadeau aux enfants, qui le faisait apparaître de sa cachette. Dans certaines familles, l’officiant cache l’afikomane et les enfants reçoivent un cadeau s’ils le trouvent.

Quand l’afikomane est trouvé et rendu, l’officiant le coupe en plusieurs petites parties et le partage entre tous les invités.
Au Moyen Âge, de nombreuses personnes superstitieuses croyaient que l’afikomane agissait comme une amulette qui avait le pouvoir de chasser les mauvais esprits. Pour cette raison, ils accrochaient un morceau de l’afikomane restant dans leurs maisons et synagogues. Les Juifs du Kurdistan avaient l’habitude de poser des morceaux de l’afikomane restant dans du riz, dans de la farine et dans des salières. Les Juifs du Maroc, compte tenu du fait qu’ils considèrent que l’afikomane a un pouvoir de calmer la mer, portent avec eux un morceau lorsqu’ils voyagent et si les eaux deviennent tourmentées, ils en jettent un morceau dans la mer. morim



On prend l'Afikomane et on le partage entre les membres de la maison.
On fera attention de ne rien boire après l'Afikomane.
On le mange accoudé et avant le milieu de la nuit.



D ou vient la "coutume" de cacher l 'afikomane pour que les enfants la cherche ? et d offrir un cadeau a ll enfant qui l a trouve 


L’habitude qui s’est installée de dissimuler l’ afikomane dans un sac et de permettre aux jeunes enfants de le dérober contre une récompense est très ancienne et paraît remonter à l’époque de la Michna .
Elle s’inscrit dans la pédagogie très particulière du Sédèr de Pessa‘h , laquelle insiste sur la nécessité d’exciter la curiosité des enfants. Cette curiosité est également stimulée par l’ensemble de la gestuelle du début du Sédèr our‘hats karpas ya‘hats ), et l’auteur de la Haggada la fait culminer avec le Ma nichtana .
Il est vrai que certains décisionnaires – très minoritaires, il est vrai – ont émis des réserves sur cette pratique, qu’ils considèrent comme une forme d’incitation au vol, et donc comme contraire à une bonne et saine pédagogie.
On attribue au Mikhtav Sofèr , petit-fils du ‘Hatham Sofèr  une explication plus profonde de cette pratique :
Lorsque Hachem a tué les premiers-nés égyptiens, indique la Tora Chemoth 11, 7), aucun chien n’a aboyé. Or, la Haggada , qui énumère une quantité considérable de miracles qui se sont produits au moment de la sortie d’Egypte, est muette à ce sujet.
En fait, a expliqué le Mikhtav Sofèr , c’est le vol de l’ afikomane qui constitue le rappel de ce silence des chiens. La Guemara nous met en garde contre le fait d’habiter dans une ville où il n’y a pas de chiens ( Pessa‘him 113a). En effet, explique Rachi , les aboiements des chiens sont une protection contre les voleurs.
Il s’ensuit que le silence des chiens, la nuit de la sortie d’Egypte, a aggravé les risques de vols.
C’est donc pour rappeler cette aggravation des risques que l’on permet aux jeunes enfants, le soir du Sédèr , de « voler » l’ afikomane .



Jacques Kohn 
techouvot



Regarder sur  akadem



Le sens caché de l'afikoman 


Yeshaya Dalsace, Rabbin de la communauté massort


Le Banquet dans l’oeuvre de Platon
Le Banquet est avec le Phèdre, un des deux dialogues de Platon où le thème majeur est l'amour. Dans ce texte, Platon fait entendre des voix différentes pour parler de l'amour.
L'interprétation de Leo Strauss insiste particulièrement sur l'aspect tragi-comique de ce dialogue, qui est en réalité la réponse philosophique de Platon aux accusations portées par la Cité contre la philosophie et contre son maître Socrate.

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